On parle d'épidémie, maintenant.
Le monde est devenu le terrain de jeu de la punaise ; le Québec n'est pas en reste. La cimex semble partout : à la télé, dans les journaux, dans les métropoles... sous vos lits?
Je peux donc affirmer que j'ai été l'une des premières victimes à Montréal depuis cette nouvelle vague d'infestation : nous sommes maintenant des milliers à connaître ou à avoir connu ce calvaire.
Je vois, deux ans plus tard, que les gens laissent toujours des commentaires sur ce blog même si je ne m'en occupe plus. Merci à tous.
Sachez que je ne le supprimerai pas, à moins que Google se manifeste un jour pour protester contre mon inactivité (le Web est surchargé, je sais...). Ce blog ne m'appartient plus depuis longtemps : il appartient aux infestés qui ont besoin d'aide, qui veulent donner des conseils ou qui souhaitent tout simplement partager leur expérience.
Il y a quelques mois, une autre de mes collègues de bureau a été infestée. C'était l'anxiété, la panique... heureusement, elle a pu ventiler tout son stress avec moi! Bien entendu, ce fut une période où plusieurs symptômes psychosomatiques ont fait leur réapparation. Comprenez, son bureau est tout juste à côté du mien, nos sacs se touchent parfois, nos manteaux aussi... Durant cet épisode, j'ai vu apparaître sur ma peau nombre de boutons louches et qui démangeaient. Je dormais mal. Je craignais le pire : le retour de la bestiole maudite.
Je peux donc affirmer que j'ai été l'une des premières victimes à Montréal depuis cette nouvelle vague d'infestation : nous sommes maintenant des milliers à connaître ou à avoir connu ce calvaire.
Je vois, deux ans plus tard, que les gens laissent toujours des commentaires sur ce blog même si je ne m'en occupe plus. Merci à tous.
Sachez que je ne le supprimerai pas, à moins que Google se manifeste un jour pour protester contre mon inactivité (le Web est surchargé, je sais...). Ce blog ne m'appartient plus depuis longtemps : il appartient aux infestés qui ont besoin d'aide, qui veulent donner des conseils ou qui souhaitent tout simplement partager leur expérience.
Il y a quelques mois, une autre de mes collègues de bureau a été infestée. C'était l'anxiété, la panique... heureusement, elle a pu ventiler tout son stress avec moi! Bien entendu, ce fut une période où plusieurs symptômes psychosomatiques ont fait leur réapparation. Comprenez, son bureau est tout juste à côté du mien, nos sacs se touchent parfois, nos manteaux aussi... Durant cet épisode, j'ai vu apparaître sur ma peau nombre de boutons louches et qui démangeaient. Je dormais mal. Je craignais le pire : le retour de la bestiole maudite.
Pour me rassurer, j'ai aspergé de l'insecticide dans ma chambre et me suis tracé un «périmètre de sécurité» autour de mon lit. Chaque ex-infesté devrait toujours avoir sous la main, à mon avis, un insecticide de pyrèthre, pas trop toxique, dont il peut se servir lorsqu'il craint le retour de la calamité. Mes boutons sont disparus : paranoïa ou véritable éradication précoce? Je ne saurai jamais, et enfin, je m'en fous.
L'insecticide est dans mon placard et le calme dans ma tête.